RCFrontenaysien

« Le Racing Club Frontenaysien, plus qu'un club, une famille. »


Edité le Dimanche 27 juillet 2008 à 1:46


VALET SERA MANCUNIEN


Clément Valet exercera son métier à Manchester United après un prêt d'un an dans son club nourissier. Cette fois, c'est sûr : les dirigeants mancuniens ayant apporté les garanties de paiement exigé par Marcel Grélard, les 2 clubs sont tombés définitivement d'accord hier, en fin de journée pour le transfert et le prêt immédiat du joueur Français, ce dernier très attaché au RCF a en effet souhaité être immédiatement prêté à son club formateur afin d'y passer une dernière saison. Il rejoindra officiellement la Première League l'an prochain.

Comme convenu, le joueur s'engage pour une durée de 3 saisons, le montant de la transaction s'élève quant à lui, à 31 millions d'euros, auxquels s'ajouteront 250 000 euros de bonus en cas de qualification du RCF en Ligue des Champions ( NDLR : « Le RCF termine 3ème de la Ligue 1 et jouera le tour préliminaire de la C1 à la reprise du championnat). Le jeune Français s'apprête ainsi à porter le maillot du club champion d'Europe. Un club où les pressions médiatiques sont considérables.


De retour au plus haut niveau la saison passée grâce notamment à l'éclosion de jeunes talents, le Racing Club Frontenaysien disputera le tour préliminaire de la Ligue des Champions et Valet rêve d'une grande aventure dans cette compétition. Ce choix de se laisser une année supplémentaire d'apprentissage en France et au RCF prouve que Valet n'a pas renoncé à ses ambitions sportives.


C'est tout le staff du club (de Cyril Masseteau, porteur d'eau à l'emblématique Marcel Grélard, en passant par le président Didier Pajot et le porte parole Rémy Martin) qui s'est réjouit dès l'annonce de ce retour sous forme de prêt de leur prodige milieu de terrain et capitaine de sa génération.

Mais c'est surtout ses coéquipiers, ses « potes de vestiaires » qui l'ont poussé vers ce retour nous confiait Clément Valet lors d'un entretient privé : « C'est vrai que Manchester United est mon rêve de gosse puisque j'en suis un grand fan. Mais j'ai choisi de jouer une saison de plus en France car il y a mes potes et je promets de jouer tous les matchs à fond ! »

Le jeune frontenaysien termina par un petit brin d'humour « J'avoue que j'hésiterais peut-être à mettre un but contre mon camp, ma spécialité, s'il y avait un RCF - MU en Champion's League (Rires). »

 
http://rcfrontenaysien.cowblog.fr/images/PhotosArticlesDivers/DSC04459.jpgLe prometteur milieu défensif aura 20 ans pour ses débuts en Première League.


Propos recueillis par Quentin Baled

Edité le Dimanche 27 juillet 2008 à 1:47


GRELARD NE DIGÈRE PAS


Aussitôt après le refus catégorique du Racing Club Frontenaysien, la cellule de recrutement des Gunners insiste de nouveau pour s'attacher les services de Nivau.



Malgré le refus catégorique et le désir du joueur de rester au moins un an de plus au RCF, les agents de recrutement d'Arsenal reviennent à la charge dans ce que l'on peut maintenat appeler « L'affaire Nivau ». En effet, Romain Nivau, futur grand nom du football Français a conjointement décidé avec son club formateur de ne pas partir outre-Manche dès cette année. Seulement, l'emblématique manager Français d'Arsenal Arsène Wenger ne l'entend pas de cette oreille et compte bien tout faire pour arracher Nivau au RCF. Le patron de Frontenay, Marcel Grélard ne comprend pas.


Cette nouvelle offre d'Arsenal va t-elle faire plier les dirigeants du RCF ? D'autant plus qu'il y a de quoi faire réfléchir car après les 40 millions d'euros auxquels s'ajoutaient le milieu de terrain espagnol Cesc Fabrégas, les Canonniers d'Arsenal reviennent cette fois avec une offre federesque de 60 millions plus Fabregas ! Mais le RCF ne semble toujours pas sensible, ni au portefeuille londonien, ni au récent champion d'Europe Espagnol. « Oui oui non mais, Fabregas est certes un très bon joueur mais je reste persuadé que Romain a beaucoup plus d'avenir devant lui » déclara M. Grélard. Ce qui fit immédiatement réagir l'entraîneur d'Arsenal, A. Wenger : « C'est une insulte envers le talent de Cesc. On ne peut pas refuser un joueur de cette classe ! »

Le bras de fer Grélard - Wenger
 

C'est un combat de titan entre Arsenal et le RCF à l'image du bras de fer houleux entre Marcel Grélard et Arsène Wenger. Les tensions sont considérables et le pourtant très calme manager des Gunners a failli en venir au mains lors de cette rencontre avec l'ex-président du RCF au stade municipal de Frontenay R-R (photo). Conscient de l'énorme potentiel du jeune Français, Wenger est près à faire d'énormes sacrifices pour enrôler Nivau. Cependant, M. Grélard reste catégorique : « Romain veut rester, il restera ! ».


Cette affaire ne reste pas seulement Franco-Britannique, elle se répend dans tout le paysage footballistique Européen, ce qui créé des clans dans toute l'Europe. Il y a les pro-Grélatd défendant l'amour du maillot et les pro-Wenger préférant la pression des millions d'euros à la formation des jeunes talents. On compte de nombreuses personnalités du football dans les rangs du dirigeant Frontenaysien tels Didier deschamps, Laurent Blanc ou encore l'inamovible Guy Roux et sa formation à l'Auxerroise. Tandis que les Roman Abramovich, Glazer et autres Silvio Berlusconi penchent très naturellement pour le ma,ager du club Londonien. A l'heure d'aujourd'hui tout semble mener à un autre refus de la part des dirigeants Frontenaysiens. Affaire à suivre...


 

Furieux, Arsène Wenger a tenté de provoquer Marcel Grélard en lui lançant une gifle, mais le RCF reste impassible à l'image de son dirigeant.
 


Quentin Baled

Edité le Dimanche 27 juillet 2008 à 1:47

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