RCFrontenaysien

« Le Racing Club Frontenaysien, plus qu'un club, une famille. »

Didier, Rémy, Marcel,

Il nous semblait important de vous rendre hommage aujourd’hui. Non pas pour vos phrases chocs qui nous font rire, ni parce qu’au plus profond de vous vous nous adorez sans vouloir l’avouer, mais simplement parce que vous aimez le football. Et c’est parce que vous respirez le football que vous aimez le RCF.

Didier, combien de personne as-tu contacté pour le sponsoring, la préparation du dîner dansant et autres fêtes ? Comment fais-tu pour convaincre les parents de suivre leurs enfants sur le terrain tous les samedis et ainsi en faire des accompagnateurs d’équipes jeunes ?

Rémy, as-tu déjà compté le nombre de kilomètres parcourus sur les bords de touches ? Combien de touches signalées ? Et de hors-jeu ? Pour nous ? Pour les équipes adverses ? Pourtant les chiffres ça te connaît. Tu ne te défiles jamais devant la tâche à tel point qu’il apparaît naturel aux yeux de tous de te voir tous les dimanches agiter ton drapeau pour signaler et signaler encore.

Et toi Marcel. Ah Marcel ! Un jour le stade de Frontenay sera baptisé le Marcel Grélard Stadium tellement tu en es indissociable. Combien de joueurs as-tu côtoyé ? Combien de coups de gueule envers le district pour défendre nos intérêts as-tu poussé ? Combien d’heures as-tu consacré au club ? Il t’est impossible de nous répondre n’est-ce pas ? Peut-être que le plus beau compliment qu’on puisse te faire c’est que sans être sur le terrain, tu joues avec nous. Même en réserve, si on se concentre bien, on peut entendre tes encouragements nous dire de tenir jusqu’au bout pour le maillot.

Petite dédicace également pour Joëlle, notre Maman foot à tous, dans l’ombre de la buvette nos cœurs t’éclairent.

C’est à cause de tout ça et grâce à vous qu’aujourd’hui nous pouvons proclamer notre devise :

« Le RCF plus qu’un club, une famille »

Clément, Gaetan, Guillaume, Arthur, Alex, Clément, Romain, Yohan

Edité le Samedi 25 octobre 2008 à 17:00

2 réactions

Hommage aux arbitres du RCF

Nous les critiquons, nous contestons leurs décisions, nous ne sommes rien sans eux. Non, nous ne parlons pas à nouveau des dirigeants du RCF, bien qu'il est vrai qu'ils nous sont indispensables, mais des arbitres du RCF. Ils sont quatre, passionnés de football, à parcourir tous les dimanches les routes des Deux-Sèvres à la recherche d'un tirage de maillot, d'un tacle par derrière, d'une obstruction ou d'une main. On ressent parfois, si on y prête attention, leur gêne, leur timidité au moment où il faut sortir la sanction administrative semblable à celle d'un jeune couple trop amoureux pour discuter de choses et d'autres.

Mais plus que cela, l'arbitre est le maître sur le terrain et la clé du match. Il a été forcé de faire son apparition devant les difficultés rencontrées par les amoureux de sport à s'imposer des règles controversées et trop dures à accepter sans hiérarchie. Le recours aux arbitres est devenu indispensable au bon déroulement d'une rencontre. De ce fait, nul entraîneur, nul joueur, nul spectateur n'a de droit d'influence et de mépris envers cette personne. Arbitrer un match, quelque soit le niveau, est un métier complexe et exigeant, qui nécessite une grande prise sur soi-même face aux insultes incessantes et accablantes. Nous, qui avons du recul, montrons si souvent du doigt leur travail, mais combien d'entre nous, serait prêt à enfiler un maillot fluorescent et diriger un simple match ? Dans de telles circonstances, il est toujours facile de critiquer inutilement. Bientôt, ce ne sera plus trois ni quatre mais sans doute cinq arbitres qui fouleront les pelouses de football. Des négociations récentes à propos de l'arbitrage à cinq se sont déroulées afin de limiter, le plus possible, les erreurs et surtout afin de surveiller d'avantage les joueurs en les dissuadant de gestes pouvant s'avérer irréguliers (on pense aux plongeons et autres coups de coude). De plus, combien de temps faudra-t-il aux joueurs de football, en particulier, pour comprendre qu'une fois la décision prise par l'arbitre de siffler une faute, un pénalty, un coup-franc, il ne lui est plus possible de revenir en arrière et qu'il ne sert à rien de contester si ce n'est d'écoper un avertissement ? (sauf exception, dans les cas les plus extrêmes où la décision litigieuse nuirait au résultat final.) Il est bien entendu énervant voire vexant de se voir appréhender pour un geste jugé illicite alors qu'il nous parait totalement correct. Cependant, l'arbitre a toujours raison et bien des joueurs l'oublient.

De la même manière, leur serrer la main à la fin de la rencontre est le signe du plus grand respect et sera toujours considéré, par l'homme en jaune, comme une récompense du travail accompli avec réussite.

Marcel Grélard, en perpétuelle recherche d'améliorations pour le RCF, nous confiait que deux ou trois arbitres étaient susceptibles de rejoindre très prochainement le RCF. En quête d'informations, nous demandions quelques informations supplémentaires auprès du vice-président du club, Rémy Martin. Ce dernier nous révélait alors que l'un des futurs arbitres frontenaysiens étaient un jeune arbitre de niveau CFA. Une fois de plus, si ces recrues un peu particulières rejoignent les rangs, on retrouve une confirmation de l'attractivité du RCF cette saison. En outre, François Doolaeghe compte bien présenter un jeune arbitre qu'il forme actuellement.

Ils nous aident tous les week-end, ils sont nécessaires, nous nous devions ainsi de leur rendre hommage afin de leur témoigner notre admiration et notre respect.

http://rcfrontenaysien.cowblog.fr/images/PhotosArticlesDivers/img213-copie-1.jpg

François Doolaeghe, célèbre arbitre du RCF

Christophe Legrand et Alexis Cardin

Edité le Samedi 13 décembre 2008 à 9:31

Aucune réaction

Les quinze ans du RCF

IL ÉTAIT UNE FOIS 15 QUINZE ANS ...

Nous souhaitons féliciter nos jeunes quinze ans pour leur formidable saison qui vient tout juste de s'achever en ce qui concerne le championnat.

Ayant surclassés leur première partie de saison, les frontenaysiens pointaient, en Janvier, à la plus haute place, comptabilisant toutes compétitions confondues, neuf victoires en dix matchs (un petit match nul) pour une différence de but démesurément favorable s'élevant à plus trente. L'équipe s'est donc vu accorder le privilège d'évoluer un cran au-dessus, en première division départementale et là encore, réalisant de grandes performances collectives se classant fièrement à la deuxième place. Une équipe dotée d'un grand potentiel, composée de joueurs talentueux alliant vivacité et technique corrigeant ainsi leur manque d'impact physique par une envie de jouer au ballon significative d'une maîtrise collective certaine. Il y a bien longtemps que le Racing Club Frontenaysien n'avait pas connu une équipe quinze ans aussi impressionnante. Il faut dire, que leurs prédécesseurs n'avaient pas comme entraîneur Stéphane Rey, emblématique coach du RCF, qui a accompli, dans l'ombre, un énorme travail de préparation tant sur le plan technique que tactique. Lui, qui côtoie ses joueurs depuis de nombreuses années, et qui est à présent reconnu comme chef d'orchestre du triomphe de cette génération. Des résultats qui ne se sont pas uniquement dessinés cette année, on se souvient que l'an passé, l'équipe avait également fait parler d'elle, se qualifiant brillement pour la finale de la Coupe de troisième Division, et même si le sentiment d'amertume avait pris le dessus à l'issue de la défaite qui plus est lors de la loterie des tirs aux buts, il n'enlève en rien l'étendue de la prouesse réalisée. À noter enfin, que l'équipe est toujours en lice en Coupe des Deux-Sèvres cette fois, au stade des quarts de finale.

Des joueurs fiers de leurs couleurs qu'on peut apercevoir aux abords du stade, les jours de matchs, supporter leurs ainés. Pour tout cela, nous adressons nos félicitations à Guillaume Bouteculet, Alexis Clément, Damien Coue, Alexis Dupuis, Quentin Fèvre, Brice Lefort, Gaetan Lotte, Valentin Pagnon, Yann Philippot, Paul Rey, Thomas Rivollet, Alexis Taunay, Wilfried Thebault, Aurelien Valet, Camille Valet et Stephane Rey pour l'ensemble de leurs résultats.

Les quinze ans accompagnés de leurs fidèles supporters

Alexis Cardin

Edité le Mercredi 29 avril 2009 à 10:05

2 réactions

Une équipe en Or jaune

LE RCF N'AVAIT D'YEUX que pour ses 15 ans. Et il y avait de quoi, l'équipe a tutoyé la perfection cette saison. Elle a non seulement remporté la Coupe des Deux-Sèvres mais a également accédé au niveau régional, la Promotion d'Honneur, une performance jamais atteinte au club.

Si la formation des quinze ans frontenaysiens n'était pas une équipe de football, elle serait a fortiori, un original éclair au chocolat fragmenté de banane tellement elle nous a régalé. Une palette délicieuse et inépuisable de gestes techniques, une précision de transmission de balle, de la vitesse, de la rigueur, Mesdames, Messieurs, vous êtes servis. La cerise sur le gâteau ? Ils l'ont également : La Coupe des Deux-Sèvres. Samedi dernier, à coups de klaxons et de cris, on crût assister à un défilé ou à un mariage de grande ampleur arpentant les rues de Frontenay Rohan-Rohan aux alentours de dix-huit heures. Le RCF venait de remporter la première Coupe des Deux-Sèvres de son histoire grâce à son équipe de 15 ans. Incroyable me direz-vous. Détrompez-vous, elle a fait plus. Elle s'est hissée en Promotion d'Honneur ni plus ni moins. Une compétition régionale pour nos jeunes joueurs, du jamais vue. Il faut dire que cette équipe a quelque chose de spécial, quelque chose qu'on ne perçoit pas souvent, semblable à une âme si recherchée de nos jours, une impression de complicité, de simplicité et de plaisir s'en dégage. Avec le trait d'union d'une cohésion certaine qu'est Stéphane Rey et de son effectif réduit à son maximum à savoir douze éléments disponibles, les noirs et jaunes ont chevauché, entourés de leurs fidèles supporters, à travers les Deux-Sèvres pour s'offrir le privilège d'évoluer à l'échelon supérieur. C'est tout simplement énorme, le RCF peut être fier de ses jeunes.

Il était probablement écrit que rien ne pouvait leur arriver cette saison. Châpeau les 15 ans.

http://rcfrontenaysien.cowblog.fr/images/PhotosU17/P000000172.jpg

Les 15 ans ont participé à une sublime année qui restera dans leurs mémoires ainsi que dans les annales du club

Alexis Cardin

Edité le Samedi 20 juin 2009 à 10:00

6 réactions

Hommage ou Dessert ?

Je me souviendrai de cette équipe frontenaysienne qui se hissa en quatrième division, je me souviendrai ...

Des arrêts déterminants de Toto, attention aux lobs quand même ! ; des courses d’attaquants stoppées par Mat, quel staïle ! ; de la sérénité de Steph, trop facile ! ; de Guy The King, déjà une légende ! ; du but à la Messi de Cyril M, je l’ai vu de mes yeux vus, a failli arrêter sa carrière là-dessus ! ; du jeu Di Mécois ou Roolien de Rom, le roi des escalopes ! ; de la maîtrise d’Oliv’, et ses fameux haaaa ou hoooo italiens ! ; des piges rentabilisées de Dav’, non les gars j'reprends pas ! ; du caractère de Nico, fort à l’extérieur, doux à l’intérieur ! ; de la voie montrée par Ludo, ça a l’air facile comment il joue, ça a l’air ! ; de son fils spirituel Max, la technique oui mais muscle ton jeu Fiston ! ; des coups de pouce de François, 2 montées pour lui ! ; du retour gagnant d’Arthur, même pas peur ! ; du petit Yvan qui deviendra grand, avec moins de glue sur les chaussures ! ; des montées rageuses de Gaët’, Gigi-a la-gnac ! ; des centres au cordeau de Nénèch, pourtant avec le short si bas ! ; des apparitions de Ced en 9, souvenez-vous ! ; des courses effrénées de Julien G, bip bip ! ; des appels de Flo, pour un rappel cette année ! ; de la puissance de Julien H, le Bull-doseur ! ; des filets traumatisés par Aynerique, une pensée également pour tous les plants d’orge et de houblon arrachés ! ; des coachings gagnants de Wil, et ses feintes « les gars j'rentrerai en fin de match ! » ; de notre Henri Emile Didier, euh par contre c’est pas lui qui a formé François ! ; pour tous ceux qui nous ont accompagné et supporté, enfin des BOOUUUUHHHHH ! de notre captain’ Lolo, plus emblématique que Deschamps, ah l’année aurait été complète si, si, si Bordeaux…

Pour l’ambiance, pour l’esprit, pour la combativité, pour les redressements de situations, pour la solidarité, pour cet envol réservistes frelons, bref pour cette montée, chapeau bas, méritée après ces 2 ans, fier d’avoir partagé - certes de façon sinusoïdale - cette aventure avec vous !

Il faut garder le même état d’esprit cette année. La bataille sera rude, ce sera évidemment moins facile, il y aura forcément des équipes plus fortes, mais on relèvera le défi. Chaque match sera à prendre comme un match de coupe. L’essaim n°2 est prêt à batailler durant cette nouvelle saison et à défendre sa place, qui s’y frotte s’y pique !

Cyril Bugeaud

Edité le Samedi 5 septembre 2009 à 4:40

2 réactions